Auteur : Ptite rêveuse.
Titre : pas sûre encore...
"Le chemin est long... mais il faut avancer"
"Marlène".

Thème : C'est l'histoire d'une fille, Marlène, qui vit chez des parents qui l'ont adoptés... Elle va essayer de s'en sortir malgré une existence un peu dure...

Voici le prologue. Je ne poste que ça, pour savoir si cela vous plaît. Et si oui, je posterai la suite très vite...

Voili voulou !


Prologue

La petite fille tremblait sous le poids de l’homme qu’elle essayait de soutenir. Elle marchait lentement, pour ne pas le faire tomber. Les autres passants détournaient le regard. L’enfant tentait de leur parler, mais ils s’éloignaient dès qu’elle ouvrait la bouche.
Le vent persistant glaçait la jeune enfant qui n’avait aucun vêtement pour se couvrir. Elle ne portait qu’un T-Shirt d’un rouge sale et délavé. Son pantalon rose était déchiré aux genoux et en bas. Elle devait avoir sept ans. L’homme, lui, empestait l’alcool. Son T-Shirt était trempé - de sueur ou de bière, impossible de le savoir. Il marmonnait des paroles incompréhensibles.
D’un coup, la petite fille trébucha et tomba dans le caniveau, entraînant l’homme dans sa chute. Elle se releva et tira sur le bras de ce dernier. Une dame passa et l’enfant l’appela d’une petite voix :
- S’il vous plaît, aidez-moi ! Mon papa veut pas se relever.
L’inconnue la regarda avec mépris, haussa les épaules et repartit, laissant l’enfant seule.
- Allez, papa, allez... Papa !
La petit fille essaya encore de relever son père - en vain. Il pesait vraiment trop lourd. Alors elle se pencha et lui souleva la tête. Un filet de sang coulait sur son visage. Ses yeux, devenus vitreux, fixaient un point au loin.
- Papa ?
L’enfant reposa doucement la tête de son père sur le sol froid et s’affaissa par terre. Les larmes coulaient sans bruit sur ses joues creuses et ternes. Comme une digue qui se brise, elle se mit à hurler :
- Papa ! Reviens !
Quelques têtes curieuses se tournèrent vers cette fille crasseuse qui pleurait sans retenue. Mais après quelques secondes d’avides observations, chacun retourna à ses préoccupations. La petite fille se balançait de l’avant vers l’arrière et murmurait, comme une berceuse, le même mot :
- Papa, papa, papa, papa, papa, papa,...
Un vieil homme s’approcha du mort, fouilla dans ses poches et, trouvant un peu de monnaie, repartit sans un mot.
La petite fille était seule. Elle avait faim.

Il devrait y avoir une loi pour empêcher de s'arrêter à ce genre d'endroit !!!
Très bon prologue ! La suite !!! c'est un ordre s'il te plait

ok ok, je tape, plus vite que l'éclair ! enfin, j'essaye...

han sadiiiiiiiiiiiiiique é_è c'est tout triste éè pauvre petite choupinette éè *fait un câlin à Marlène*
super prologue!

Ah oui aussi, j'ai oublié, j'avais une critique (une gentille critique) : le petit détail qui rend la scène encore plus sordide (le type qui fait les poches du cadavre), ça c'est génial ! Et aussi, l'indifférence des passants,...
Bon, sinon je vais me répéter : le prologue est pas trop long, mais il est très bien, et il donne très très envie de connaitre la suite tu as droit à quatre petits pandas dansants ! (nouvelle façon de noter)

Pour la longueur du prologue, c'est un peu fait exprès... un prologue doit être court, sinon c'est un chapitre ( enfin, c'est ce que je pense...) !
Pour l'indifférence des passants, je n'ai pas eu à chercher très loin. Quand quelqu'un glisse et tombe dans la rue, combien de personne s'arrête pour lui demander si elle va bien ? Si la personne a de la chance, seulement 4 ou 5 passants ...

Double post pour poster ( haha) la suite ! Avec un peu de retard, mais voilà ce que j'ai pondu... Dites-moi ce que vous en pensez ! ^^

______



8 ans plus tard.

La jeune fille qui marchait d’un pas pressé dans la rue ne passait pas inaperçue. Ses cheveux noirs auraient pu être beaux s’ils n’avaient pas été sales et emmêlés. Ses yeux, d’un marron terne, posaient sur les gens un regard plein d’indifférence. Elle portait des vêtements qui -eux - étaient propres et assez soignés. Un manteau noir avec une coupe droite cachait un sweat vert et un jean bleu. Une sacoche noire pendait sur son flanc gauche, rebondissant au gré des pas pressés de l’adolescente. Le même sac depuis plus de 4 ans.
Elle se rendait en cours; elle était en seconde. Et, surtout, elle était en retard. Elle pressa encore plus le pas, se mettant presque à courir, pour ne pas arriver, encore une fois, après la sonnerie.
Malheureusement, elle était partie trop tard de chez elle. Dans les couloirs, vides, elle croisa le CPE, qui l’appela avec mauvaise humeur :
- Marlène ! Ne pouvez-vous donc jamais arriver à l’heure ?
Marlène soupira intérieurement. C’était toujours la même rengaine, depuis 3 mois maintenant. Elle prit son air le plus impassible possible et lâcha du bout des lèvres un “excusez-moi”. Le CPE, vieil homme grisonnant, atteint de calvitie, passa une main dans ce qui lui restait de cheveux.
- Je me fiche de vos excuses... C’est pour vous que je dis ça, vous savez ?
“ Et vous finirez bien par le comprendre” termina la lycéenne dans sa tête. L’homme répéta mot pour mot la même phrase. Il disait toujours la même chose, de toute façon... Et elle s’en fichait vraiment d’arriver en retard.
- Allez, c’est bon, jeta son interlocuteur, filez en cours...
Il repartit vers son bureau, les mains dans les poches. Marlène, elle, monta les escaliers vers sa salle de cours. Elle avait cours de chimie. Arrivée devant sa salle, elle frappa et entra sans attendre la réponse du professeur, Mme Guilliard. Celle-ci leva la tête lorsque la retardataire entra. Soupirant, elle indiqua une place vaquante :
- Allez vous asseoir, Marlène.
Les professeurs avaient l’habitude, désormais, de voir Marlène arriver en retard. Et aucune punition ne l’empêchait de recommencer. L’adolescente s’assit à côté d’une de ses camarades, Alice, une jeune fille souriante, aux cheveux roux. Sans même lui accorder un regard, Marlène sortit ses affaires et entreprit d’écouter assez distraitement le cours. Alice coupa son attention rêveuse :
- Tu es encore arrivée en retard... Pourquoi ?
L’adolescente aux cheveux noirs observa sa camarde qui, curieuse, s’était penché en avant.
- Panne d’oreiller, répondit laconiquement Marlène.
- Ah...
Se désintéressant de son cas, Alice retourna à son cahier.

Après la mort de son père, Marlène s’était retrouvée sans famille. Pas de mère, aucuns oncles ou tantes connus, elle était seule. Les services sociaux l’avaient accueillies, et avaient fini par se débarrasser d’elle. Marlène avait été confiée à une famille d’accueil. Une famille “normale” : un père, une mère et un fils. Une famille parfaite, insupportablement rangée. Jusqu’à ses 13 ans, Marlène était souvent rentrée les vêtements déchirés, ou bien avec des bleus aux bras et au visage. Elle se battait tout le temps. Et ses “parents”, des gens adorables, qu’elle ne pouvait pas supporter, lui demandaient toujours pourquoi elle se battait. Plutôt que de répondre, Marlène se taisait, les ignorait. Et Emmanuel, son “frère”, de 2 ans son aîné, se moquait d’elle et prétendait qu’elle était muette. La vie familiale était pour Marlène un environnement étouffant. Elle rentrait le plus tard possible, fuyait les moments où ils auraient pu être quatre dans la même salle, préférant la solitude.

La cloche sonna et Marlène referma avec soulagement son cahier. Elle n’aimait pas la chimie. En fait, elle détestait tout ce qui avait trait au domaine scientifique. Elle n’aimait pas la logique froide, raisonnable, sans sentiments. Elle adorait les livres, la littérature, l’étude de l’écriture.
Se levant, Marlène bouscula un élève et s’excusa avec empressement. L’élève en question haussa les épaules et Marlène repartit. Depuis quelques temps, elle avait réalisé à quel point l’impolitesse était quelque chose d’énervant. Plutôt que de se conduire en Brutus, elle avait appris à se faire discrète.
C’était, apparemment, la récréation. Marlène se dirigeait vers la cour lorsqu’une voix l’interpella dans le brouhaha du couloir :
- Marlène !
Souriant, la jeune fille se retourna. Elle avait reconnu cette voix. La voix de son seul véritable ami, son confident, son grand frère. Nathanaël.
- Salut, Nath.
Marlène lui fit la bise, puis lui demanda :
- Comment tu vas ? T’as passé un bon week-end ?
Nathanaël haussa les épaules.
- Bof. C’était chiant. J’ai du aller chez ma grand-mère, elle m’a encore servi le même discours sur l’importance de la réussite sociale.
- Tu n’as vraiment pas de chance, remarqua Marlène, cachant son sourire. Devoir rendre visite à ta famille...
Nathanaël rougit et s’excusa.
- J’ai au moins la chance de la voir, contrairement à toi. Désolé.
- Oh, ne t’inquiètes pas. Ça ne me manque vraiment pas.
Nathanaël aperçut ses amis. Leur adressant un signe de la main, il lança à Marlène :
- J’y vais, les autres m’attendent. A plus !
- C’est ça, à plus.
Marlène le regarda s’éloigner avec un pincement de coeur, comme toujours. Depuis leur arrivée au lycée, Nathanaël était moins souvent avec elle, et elle se sentait de plus en plus abandonnée. Ca devait être dans l’ordre des choses, sans doute.

C'est trop bien, ça se lit tout seul !
J'aime beaucoup le "elle était en seconde. Et, surtout, elle était en retard."
je sais, je m'attache aux détails, mais c'est important !

Donc, donc, donc, je vais me répéter mais : LA SUITE !!! s'il te plait, dans pas trop trop longtemps

Je trouve que tu as raison de t'attacher aux détails Taray, c'est ça qui fait le charme ( ou le pas-charme) d'un écrit. ^^

Promis, j'essaye de trouver la suite très vite !

c'est génial! pauvre Marlène...
la suite s'il te plait

Moi aussi je veux la suite ! Eh, ça faisait un petit moment que je ne lisais pas tous les textes, mais là je me mets à jour et je veux vraiment la suite ! En pandas dansants, je te mets 5/5 !

Espèce de sadique ! c'est pas un endroit où s'arrêter... Pourquoi tant de cruauté dans ce bas monde !!! Pourquoi !!!!
Bref... bref... bref... La suite, s'il te plait !
Parce que là, je veux vraiment savoir ce qui va lui arriver !!!

bjefzv^jezîk^vjiefzhni^le !!! (traduction? ):
C'EST PAS JUSTE!!!T'AS PAS LE DROIT DE T'ARRÊTER LA!!!

Ah, je savais que ca vous plairait... *rire sadique*


Merci, merci mes chères lectrices !
Je vous aime beaucoup !

Je vous promets de pondre la suite bientôt !

Je rajoute ma graine LA SUITEUH OU J'INONDE LE FORUM DE MES LARMES (ou brique aux choix)
Je te préviens j'appelle Ardance pour qu'elle te fasse bosser sinon XD
Aller c'est géant bon boulot

Non, pitié pas Ardance ! Promis, je vais écrire la suite ! Comme je suis malade, j'ai toute la journée pour moi, c'est chouette !

Comme promis, voici... la suite ! ^^
Et sans plus tarder, je vous la met ici !
____

Elle fit mine de se détendre, d’abandonner toute résistance, et Alexandre relâcha la pression sur son bras. C’était tout ce qu’il fallait à Marlène. Vive comme l’éclair, elle libéra son bras et se faufila entre les lycéens qui bavardaient à la sortie du lycée. Marlène ne prit même pas la peine de se retourner. Elle savait qu’Alexandre la suivait. Elle voulait juste s’éloigner de ces gens, à la fois pour les protéger et pour éviter qu’ils ne se posent trop de questions.
Marlène connaissait le quartier comme sa poche. Elle pouvait facilement semer le gros crétin qui lui courait après en soufflant comme une bœuf. C’était un avantage pour elle, car elle courait vite et tenait bien l’activité physique, au contraire de son poursuivant.
Tournant dans le dédale interminables des rues, elle jetait parfois un coup d’oeil en arrière pour voir comment Alexandre tenait le rythme. À sa grande satisfaction, elle le vit ralentir de plus en plus. Elle allait le semer. Tant mieux, car malgré sa forte endurance, la lycéenne commençai elle aussi à se fatiguer. Elle n’était pas une coureuse de marathon, tout de même. Alors qu’elle tournait une dernière fois, dans l’espoir d’achever totalement Alexandre, elle aperçut Nathanaël. Il n’était pas seul. Une jolie jeune fille l’accompagnait. Une fille dans la même classe que Marlène. Elle s’appelait Camille, peut-être.

Elle ne voulait pas les déranger, surtout avec la brute qui la suivait. Elle s’apprêtait donc à faire demi-tour, au risque de se prendre un coup, lorsqu’elle se figea. Nathanaël n’était pas seulement en train de parler à cette fille. Il l’embrassait. Marlène en oublia tout le reste. Elle avait arrêté de courir, et sentait dans son dos le souffle bruyant d’Alexandre se rapprocher, mais elle s’en fichait. Quelque chose... quelque chose était en train de se produire. Quelque chose que Marlène ne comprenait pas très bien. Elle se sentait énervée, et désespérée à la fois, elle en voulait à cette fille, à Nath et à elle-même.
Nathanaël cessa de tenter d’aspirer la bouche de sa petite amie - puisque c’était ce qu’elle était, apparemment. Il souriait et se tourna dans la direction de Marlène. Il allait la voir. Il allait voir Alexandre, aussi.
Et c’est effectivement ce qu’il se passa. Il la vit, ses yeux s’agrandirent et il fit un mouvement vers elle. C’était trop. Elle ne voulait pas de sa sollicitude. Faisant demi-tour, elle évita le bras lancé de l’adolescent et s’élança. Elle commençait à être fatiguée, et courait moins vite. Heureusement, Alexandre ne la suivit pas. En revanche, elle entendit Nathanaël qui tentait de la rejoindre. Elle accéléra, puisant dans ses dernières forces. Il ne devait pas la rattraper. Si ça arrivait, elle risquait de réagir d’une manière qu’elle regretterait plus tard. En le frappant, par exemple.
Nathanaël abandonna bien vite. Marlène l’entendit s’arrêter, l’appeler une ou deux fois, mais elle ne s’arrêta pas. Elle courut jusqu’à faire exploser ses poumons, ne s’arrêtant qu’en bas de chez elle. Là, elle pas dix bonne minutes devant la porte de son immeuble. Elle ne voulait pas rentrer. Le calvaire de l’extérieur n’était rien comparé à ce qu’elle allait subir à la maison. Non pas que ses parents soient méchants. Ils étaient gentils, justement. Trop gentils.
S’asseyant dans l’escalier, Marlène réfléchit à ce qu’il venait de se produire. Elle n’était pas inquiète pour Alexandre. Il ne reviendrait sûrement jamais. Non, le problème, pour une fois, c’était Nathanaël. Il avait une copine. Et il ne lui avait rien dit. Pourquoi ?
Et puis, pourquoi était-elle autant énervée ? Il en avait eu d’autres, des petites amies. Ça avait toujours été un tombeur, un “beau gosse”. Des tas de filles étaient tombées amoureuses de lui. Une de plus, une de moins, qu’est-ce que cela changeait ?
Marlène l’ignorait, et cela l’énervait encore plus. Résignée à ne pas trouver la solution au problème ce soir-là, la lycéenne monta d’un pas lent et fatiguée les marches de l’escalier. Elle habitait au troisième. L’appartement était immense, splendide - un appartement de riches. Rien à voir avec sa première maison, la rue, puis le centre d’accueil. Marlène ne s’y sentait pas à l’aise, dans cette maison où tout sentait la réussite sociale. Elle avait l’impression d’être une intrus.
Tournant les clés dans la serrure, Marlène poussa brutalement la porte d’entrée et lança un “Je suis rentrée” global. Puis, avant que quiconque puisse lui demander comme s’était passée sa journée, elle ajouta :
- J’ai du boulot, je vais dans ma chambre.
Et elle se précipita vers ladite chambre, dont elle verrouilla la serrure après l’avoir refermée. Ça n’était pas à proprement parler un mensonge; l’adolescente avait bel et bien des devoirs, mais rien de si pressant. En revanche, elle avait un besoin pressant de solitude.
À voir sa chambre, on n’aurait pas dit que quelqu’un y vivait, et même y dormait. Aucune décoration, aucun poster, et presque aucun objet personnel. Il n’y avait qu’un lit, un bureau avec ses cahiers et ses stylos, une bibliothèque remplie de livres et quelques vêtements pliés posés sur une chaise. Une chambre strictement utilitaire. Marlène n’y vivait pas. La seule chose à laquelle elle tenait, c’était sa bibliothèque. Les livres étaient ses plus proches confidents après Nathanaël. Enfin, “confidents”... Elle aimait s’y plonger lorsque les soucis devenaient trop grands. Comme ce soir.
Choisissant au hasard, Marlène sortit un vieux livre de ses étagères. Elle l’avait lu des dizaines de fois. Exactement ce qu’il lui fallait ce soir. S’allongeant sur son lit, Marlène se plongea avec délectation dans l’histoire.

Je vais avoir une forte impression de me répéter, mais, vu que je trouve rien d'autre à dire :
LA SUITE !!!!
Enfin, merci de t'être arrêtée à un endroit légèrement moins frustrant que la dernière fois
Mais, je veux quand même savoir ce qui va lui arriver... (très beaucoup)

T'as de la chance Ardance est apaiser pour l'instant , très bien mais minceuh on veux savoir qu'est ce qui va lui arriver ! *je ne pense pas que tu sois bien placer pour dire ça Kear. A quand remonte ton dernier article ?* ... T'es méchante T.T

En attendant je fait comme Taray et je me répète : LA SUITE

merci pour le temps passé et pour les efforts consentis afin de nous en écrire à chaque fois un peu plus loin dans l'histoire de Marlène.

en tant que panda, je danse pour toi à la manière de ceux qui t'ont été attribués ^^

Me voilà voili voulou ^^ (tout ça? et oui TOUT ça mdr)

J'adore ce petit bout de texte, c'est frais 'je sais pas ce que j'ai avec ce mot en ce moment me demandez pas). Je veux savoir la suite, j'exige une suite!

C'est très bien écrit, ça se lit tout seul, c'est franchement joli (un peu sadique mais ce n'est pas dérangeant ^^).

Bref, ponds la suite ma poule!

okok promis dans pas longtemps vous avez la suite !

me revoili!!

tout d'abord PARDON de mettre absenter si longtemps!!! c'est une histoire un peu compliquée...

ensuite toujours aussi bien cette histoire et je veux et exige la SUITE!!!

pour finir en pandas dansants je te donne 5 /5 :

Gné, Ptite Rêveuse, si tu ne te dépêches pas je vais devenir folle ! Je n'ai pas posté entre chacun de tes posts, mais là je crois qu'il est URGENT que tu nous files une suite, une TRÈS LONGUE SUITE, et après nous pourrons discuter comme des personnes civilisées. En attendant, FAIS VITE !!!! Ponds-nous 3 PAGES MINIMUM ! Il y a une quinzaine de posts par page, et deux centaines de lignes par posts... Je te laisse faire le compte ? 200 X 15 X 3 = 9 000 lignes, je crois, j'ai fait de tête. VIIIIIIITEEEEEEEUUUUUUUUHHHHHHHHHH !