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 Quand la science dérape !

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Kear
cahier gris

Kear

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Quand la science dérape ! _
MessageSujet: Quand la science dérape !   Quand la science dérape ! Icon_minitimeVen 13 Nov - 23:33

Auteur: Kear *on était pas au courant*

Titre: Quand la science dérape !*attention sa glisse* Angelle Toi tu sors

Petit truc important: Première chose, le prologue que je vais mettre juste après est vraiment très court *voir inexistant*, deuxième chose même si je pense que ce ne devrait pas poser de problème, il y aura des couples homosexuelles donc bon je préviens au cas où. Troisième chose, je poste cette histoire sur un blog (cliquer http://mlle-mella.blog.jeuxvideo.com/ si sa vous intéresse) mais c'est au compte goutte, sur le forum je ne posterais que quand l'un de mes chapitres sera terminer. Voila je crois que c'est tout... Ah non enfaite c'est P'tite rêveuse qui m'a dit de poster sur le forum comme sa j'aurais plus facilement des avis alors n'hésiter pas ! Voilou c'est tout !

Prologue

[justify]Les cours ont commencé depuis dix minutes et je m’ennuie ferme ! La prof nous écrase de ses mimiques idiotes et essaye de ré-expliquer le théorème de Pythagore à tous les idiots qui peuplent ma classe. Bon je suis méchante, ils ne sont pas tous bêtes certains arrivent à suivre. Moi dans qu’elle catégorie je me classe ? Dans la catégorie des « je m’en foutiste » comme le dit si bien Madame Lamare ma prof principal. Tous les profs pensent que je suis une délinquante qui veut juste mettre sa merde. En faites pour ne pas paraître prétentieuse mon Q.I est tellement élevé que personne ne peut le calculer. Malheureusement pour le psy qui s’occupe de moi, et heureusement pour moi, par secret professionnel il a eu interdiction de le révéler. Je reste donc toujours la fouteuse de merde n°1 et non l’intello n°1. Mes parents aller vous dire ? Mes parents dans cette histoire et bien sa leur passe au dessus de la tête. Ils n’ont d’yeux que pour leur autre fille la douce, l’intelligente, la belle Angelica ! Celle qui a de longs cheveux blonds soyeux, de beaux yeux verts pétillant en amande. Enfin elle est parfaite, à chaque passage d’elle dans le lycée des seaux à baves se retrouve au coin des casiers. On regarde moins leur fille adoptée, je sais que je suis adopté car au dernière nouvelle je ne suis pas la jumelle de Angelica et les enfants ne naissent pas en 2 mois. Donc ils ne regardent jamais la fille adopté qui a les cheveux noirs toujours coiffé en tresse et qui lui descende jusqu’au cheville, cette même jeune fille qui a les yeux bleu ciel transparent et vide. Non jamais il ne la regarde…


Bon je sais on apprend pas grand chose mais c'est surtout pour caser la description que je fais ce prologue *elle en ai pas sure Rolling Eyes * Bref j'essaye de vous mettre le chapitre 1 *pas trop compliqué tu as juste a faire copier-coller et corriger quelque fautes et aussi quelques phrases* c'est sympa de se sentir encourager --".
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Taray
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Taray

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Quand la science dérape ! _
MessageSujet: Re: Quand la science dérape !   Quand la science dérape ! Icon_minitimeVen 13 Nov - 23:45

Le chapitre 1 ! Le chapitre 1 ! Foule en colère

Hein ? plait il ? faire une critique constructive ? ah, c'est ça que je dois faire... d'accord... C'est bien, je veux la suite Razz

Je l'aime déjà pas la sœur, j'espère que c'était un peu ce que tu voulais avec ce prologue...

Maintenant, un petit tour sur le blog Twisted Evil
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Kear
cahier gris

Kear

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Quand la science dérape ! _
MessageSujet: chapitre 1 : Quand la machine s'enraille   Quand la science dérape ! Icon_minitimeSam 14 Nov - 0:31

Aller autant continuer sur ma lancer tant que j'ai le courage XD.

Je traîne dans les couloirs telle un fantôme, je me demande vraiment qu'est ce que je m'embête à rester ici, surement se sentiment de sécurité, se dire que peut-être je pourrais ressembler a tous ses adolescents que je vois, mais je sais que jamais je ne leur ressemblerais. Je vois passer plusieurs personnes, ils ne se retournent pas, ils ne me regardent pas. Je n'est jamais été sympathique et ceux qui ont essayé de me parler se sont cassés les dents sur un mur de glace. Pourquoi je ne veux aucun amis ? Même moi je ne peux répondre à cette question. Je vois Angelica passer, notre relation s'estime à nous dire bonjour le matin et encore c'est parce que notre mère nous y oblige. La sonnerie retentit, je pris mon temps pour arriver dans les rangs. Mme Lamarre notre prof de Français et accessoirement notre professeur principal, ne fit aucune remarque je crois qu'au bout de 6 mois elle dois vraiment en avoir marre. Je ricane à cette idée. En rentrant en classe je me place toujours au même endroit, au fond près de la fenêtre. Le cours commence, Mma Lamarre a toujours été sévère mais dans ma classe elle n'arrive à rien. Cette année décourager par certaine personne, dont je fais partie, le conseil de classe contre toute attente pédagogique à mis tout les mauvais éléments dans la même classe pour éviter aux autres personne de les supporter. Donc malgré tous ses efforts elle n'arrive pas à se faire entendre, j'aurais presque pitié d'elle. Je préfère me plonger dans la contemplation du paysage que regarder mes camarades tous plus idiots les uns que les autres. Des hommes rentrent dans la cour, je fronce les sourcils ils sont bizarre et personne n'a l'air de les accompagné.

- Mlle Mella voudriez vous un temps soit peu vous occuper du cour ?

Je me retourne et lui envoie un regard vide et froid pour seul réponse. Je la voie s'énerver mais je sais que j'ai gagné. Soudain elle se détourne et je peux repartir dans mon monde en regardant cette horrible cour grise, ces horribles bâtiments gris et j'en passe. Je remarque que les hommes ne sont plus dans la cour, ils ont du rentrer. Je me plonge encore plus dans mes pensées pour finir pas oublier le monde extérieur. Je n'entend pas la porte qui est défoncer ni les mots de Mme Lamare pour savoir se que cela signifie. Je repense aux hommes et remarquent alors que dans mes souvenir ils avaient tous des bosses au niveau de leurs manteaux et que même certain avant la main dans leurs vestes. Merde quelle couillonne, j'étais tellement à l'ouest que je n'avais pas remarquer qu'ils avaient des armes. Je sursaute, des hommes armer sont arriver dans mon lycée. J'entends alors un clique :

- Je n'avais pas dit que personne ne devait bouger ? Maintenant tu te retourne doucement.

Je prends un masque impassible et me retourne comme il me l'a demandé ou plutôt ordonné. Je le regarde droit dans les yeux, il est jeune peut-être dix-huit ans à peine deux ans de plus que moi. Je ne sais pas ce qu'il fait ici avec une arme à la main mais se n'est pas sa place. Il semble étonné de voir que je n'ai pas peur, c'est surtout que je ne la montre pas même si je suis froide je tiens tout de même à la vie. Je regarde tous ceux qui se disent être des caïd, ils tremblent comme des feuilles en pleines tempêtes. Il transpire d'effrois par tous les pores. Le gars me demande alors :

- Et toi la fille bizarre comment tu t'appelles ?

Il doit parler de moi, je crois, je ne suis pas en position pour refuser de dire quelque chose, je le regarde et voie que lui aussi a peur. Il a surement peur que quelqu'un attaque et qu'il soit obliger d'utiliser son arme, il n'a jamais tué une personne je pense. Je lui répond pour être sympa même si il est censé plutôt être mon ennemis :

- Je m'appelle Seika. Seika Mella.

- Ok, bon Seika tu va me dire où se trouve les classes de gars ou fille qui sont plutôt doués pour ce battre et aussi ceux où il y a des personnes intelligentes.

Je re-regarde autour de moi, ma prof a l'air de me crier avec les yeux de lui dire tous se qu'il voudra, les autres élèves on l'air de dire que c'est une trahison si je révèle quoique soit. Je me met alors à sourire, pas le sourire tout sincère et gentil mais le sourire démoniaque, celui que seul un fou ou une folle peut avoir. Je sens que je vais m'amuser tout qu'on fait aujourd'hui. Je vois le gars commençait à flipper en me voyant. Je lui dit alors le plus innocemment possible :

- Je veux bien te répondre mais dit moi ton nom que je ne t'appelle pas Machin.

Il hésite sa se voit, je lui fait peur :

- Tie...Tierce. Qu'il arrive à me bégayer, j'en ronronnerais presque.

- Bon Tierce si tu veux trouver toutes les mauvaises personnes, il faut que tu aille dans les classes portant le numéro 4, tu es dans l'une d'elle. Pour les intellos tu cherche un peu partout. Ok ?

Il hoche la tête et reprend contenance en voyant que je reprenais un visage humain. Tout le monde me fixe, ils ont vus eux aussi le sourire qui ma fendus le face pendant quelques secondes et comprennent que leurs soupçons à mon égard étais fonder mais en bien pire encore. Il prit alors un petit téléphone et dit en chuchotant :

- Bon il semblerait qu'on pourrait le trouver dans une des classes portant le numéro 4, on les sorts dans la cour ?

Il attend la réponse et raccroche, et dit a haute voix cette fois :

- Vous vous levez sans faire d'histoire et descendez dans la cour intérieur. La vieille tu t'occupes de ton troupeau dac?

Mme Lamare pris un air pincer quand il l'a appeler la vieille mais n'a rien dit. C'est Tierce qui tient le revolver pas elle. On descend dans le calme (pour une fois) et arrive à l'endroit voulut. Quelques instants plus tard les autres classes qui porte le numéro 4 arrivent.

Chaque classe était escorter par une personne armée, le proviseur était là lui aussi sous surveillance. Moi je regardais ça d'un œil indiffèrent mais au fond de moi je la sentais, cette boule qui vous prend à la gorge cette boule d'angoisse. C'est la première fois de ma vie que je devais me battre contre moi même pour éviter de montrer mes sentiments. Ce qui se passait m'amusait mais me terrifiait par la même occasion. Celui qui menaçait le proviseur pris la parole :

- Bon Tierse c'est qui qui t'as dis ces information ?

Il me fait signe je m'avance vers lui, je vois que la plus part des élèves me regardent de travers, je leurs renvoie une image impassible, une image de prédatrice car cette peur qui montait je la transformait peu a peu en quelque chose de beaucoup plus froid, beaucoup plus bestial. Les autres ont dus le remarquer ils piquent tous du nez. Je me dirige vers Tierse, il me prend par le bras, pas méchamment parce que lui aussi a vu mon expression et il recommençait a avoir peur de moi. Pauvre petit il est censé être plus vieux que moi. Il me place devant la personne qui semble commander toute cette petite troupe. C'est pas vrai ils veulent monter un Boys band ou quoi ? Ce type doit avoir 20 ans, la je suis en mode ironique c'est vraiment que sa tourne plus rond dans ma cervelle. Je plante mes yeux dans les siens, plutôt pas mal le brun. Mon dieu je suis entrain de regarder si les personnes qui on pris le lycée en otage sont beau ou pas, je souris légèrement, faut me faire interner. Il se met a parler quelque chose me dit que se type n'est pas sympa malgré son physique plus qu'avenant :

- Bon alors voyons, dans tout ce petit monde je cherche quelqu'un. Qui sais se battre mais qui n'est pas ignorant non plus. Sa te dit quelque chose ?

Sa me fait légèrement penser a moi, je regarde autour de moi, oui c'est sans doute moi car je vois mal cette bande de bras casser avoir un minimum d'intelligence. Je sais je suis méchante. Je demande :

- Tu lui veux quoi a cette personne ?

- Je ne pense pas que tu sois en mesure de négocier.

- J'ai pourtant pas envie de le dire. Je ne cesse de le regarder dans les yeux pour voir jusqu'où il peut aller mais à la différence de Tierse il semble que lui il est déjà tuer, il choppe une élève au niveau des cheveux et pointe son arme sur sa tempe. Ok la c'est mauvais.

Je ne bouge plus, comment être sur que c'est moi qu'il cherche sans mettre en danger les autres personnes car malgré se qu'on pourrait croire, j'aime jouer avec les gens mais je n'aime pas jouer avec la vie des gens.

- Bon ok mademoiselle, je compte jusqu'à dix si tu ne me dis pas qui est la personne que je cherche, je tire c'est bien clair ?

Alerte mon cerveau n'est plus alimenté. Je ne sais pas quoi faire j'ai l'impression que ma tête va exploser. 7... Qu'est ce que je pourrais faire, la fille est terrorisé elle pleure a chaude larme. 5... Je jette un coup d'œil derrière moi, Mme Lamare essaye de parler mais Tierse la retient. Il est plutôt costaud; ça m'étonne. 4... Qu'est ce que je dois faire. 3... Mme Lamare se libère et hurle :

- C'est la gamine que vous chercher celle qui est en face de vous c'est elle !

2... Et merde. Je me retourne espérant avoir le temps de frapper pour m'échapper. Je n'ai pas le temps d'esquisser un geste qu'une seringue vient se planter dans mon coup.Il semble que je vais pas l'aimer ce brun aussi mignon soit-il. Je me sens glisser dans ma léthargie, on me choppe en vols c'est alors que je pense a une chose conne. J'ai l'impression qu'en faite dès le début il a sut que c'était moi qu'il cherchait.

Alors alors ? Je viens de remarquer que mis bout a bout mes petits morceau de chapitre en forme un plutôt conséquent !
Et pour Taray si tu passe par là le 7 il arrive bientôt si tout le monde est aussi enflammer que toi en lisant mon histoire ^^
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MessageSujet: Re: Quand la science dérape !   Quand la science dérape ! Icon_minitimeSam 14 Nov - 13:30

Inclassable smiley oh voui ! vite le 7 ! Parce que là où ça s'arrête, c'est trop.... arrrrgh (si si, c'est un vrai adjectif)

Alors les gens, vous lisez et vous aimez (et vous le dites sinon ça sert à rien) !!!
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MessageSujet: Re: Quand la science dérape !   Quand la science dérape ! Icon_minitimeSam 14 Nov - 15:19

moi j'avais lu sur ton blog, et j'avais bien aimé ! ^^
Je trouve l'idée intéressante et puis... on a envie de savoir la suite ! C'est vrai quoi !
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Kear
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Quand la science dérape ! _
MessageSujet: Re: Quand la science dérape !   Quand la science dérape ! Icon_minitimeDim 17 Jan - 21:25

Gniarf je reviens après beaucoup d'absence pour cette histoire, le chapitre 2 est un peu beaucoup moins gros que le chapitre 1 mais j'avais envie de commencer l'action dans le 2ème alors c'est que au chapitre 3 que la bataille commence (façon de parler). Je préfère préciser qu'à la fin Seika est Hum... Comment dire, très morbide alors ne lui en voulez pas trop.



Quand la vérité se dévoile (mon dieu je la met toute nue)

Bon ok plus sérieusement

Quand la vérité se dévoile =>XD, pardon excusez moi, je me marre toute seule pour rien X'D

Le silence, voilà ce qui me surprit tout d'abord, à la maison il y avait toujours qurlqu'un pour faire du bruit. Un douleur lancinante résonnait dans ma tête, les effets du produit qu'il m'a injecté surement. J'ouvre doucement les yeux, je m'attends presque à me retrouver dans une cellule mais bon on est pas dans un film de série B. Bref me voilà dans une chambre banal, même pas avec des barreaux aux (a la) fenêtres. Je me lève, outch mes jambes, je me dirige vers la porte, bizarrement elle est fermé. Je me demande pourquoi j'ai pris la peine d'essayer. Mon intuition me dit que la fenêtre doit au moins être au 4ème ou 5ème étages. Je m'approche, la vache ils ont vraiment peur que je m'échappe, on est au moin au trentième étage. Bon voyons se que je pourrais faire en attendant que l'un des gugusses veuillent bien daigner venir me voir. Une autre porte se trouve dans la chambre, au temps aller voir ce que c'est j'ai rien d'autre a faire. Je rentre dans la pièce adjacente à la chambre et siffle un coup.

- Y'en a qui on les moyens.

Je regarde ébahis la salle de bain en marbre, la baignoire devait mesurer deux mètre sur deu mètre. Ils étélent a peine leurs frique. Enfin vu que personne ne vient je pense que je vais profiter de cette pièce. Vu que j'ai toujours mal au jambe sa ne pourra que me faire du bien. J'ouvre les robinets d'eau et je fouille un peu et trouve une serviette, je me déshabille vite fait pour me plonger dans l'eau chaude. Au mon dieu sa fait du bien. Je me met a rire toute seule, il faut le faire je me suis fait enlever par je ne sais pas qui et la je suis entrain de prendre un bain dans une salle de bain de luxe. Je veux bien me faire enlever plus souvent alors.

Je comate pendant quelque minute, j'entends un bruit dans la chambre, je relève la tête. Plus aucun son, je referme les yeux. La porte de la salle de bain s'ouvre, je me lève prête a tuer toute personne dans la pièce. Non mais ho c'est sacré de prendre un bain. Je me retrouve nez a nez avec Tierse qui a pris une jolie teinte rouge au niveau des joues. Je le vois mettre sa main au niveau de sa joue d'affligement et murmurer "C'est pas vrai." Je souris, sa ne semble pas être le fait que je soit toute nus devant lui qui le gêne. Je lui dis alors :

- C'est vous qui m'avez donner cette chambre fallait pas mettre de salle de bain.

- Je m'en souviendrais si je veux enlever une autre jeune fille moins fêler que toi. Rigole-t-il devant le ridicule de la situation.

- Bon c'est pas que tu me gêne mais tu pourrais aller dans l'autre pièce que je m'habille ? Se serait gentil.

Il hoche la tête et part de la salle de bain. Sa va être drôle ici je le sens mais je me demande tout de même pourquoi on m'a enlever. Je reprend mon jean noir, mon T-shirt blanc et ma veste en cuir et les enfile vite fait. Si ils veulent être encore plus gentil avec moi, ils pourraient me prêter des vêtements propre mais après c'est eux qui voient. Je ne peux pas demander la lune non plus. Je sort de la pièce, Tierse me fait signe de le suivre sans un mot. C'est comme si on se comprenait d'office.Je le suis à travers plusieurs couloirs, ils sont chaleureux et bien éclairer.

- Ce n'est pas vraiment à quoi je pensais que sa ressemblait une antre de kidnappeur.

Il sourit légèrement mais ne répond pas, il est pas bien bavard. On arrive enfin dans un salon, 6 personnes sont présente 3 hommes et 3 femmes, ils doivent tous avoir entre 20 et 25 ans, c'est jeune. Une baie vitré se trouve au fond de la pièce elle donne, attention, SUR LA TOUR EIFFEL. Ma parole sa leur sert a quoi de m'enlever ? Oh et sacrilège de ma part, je n'est pas vu la tête de lard qui m'a injecté ce satané somnifère dans les veines. Mon coco je retiens, la vengeance est un plat qui se mange froid. Tierse se dirige directement vers lui, je pourrais si j'ai envie m'enfuir là (quoique 30 étage à descendre alors que je ne sais pas o je suis ça va être dur). Notre brun national daigne éclairer mes lanternes en ouvrant la bouche (pas pour gober les mouche hein, pour parler).*

-Salut Seika et bienvenus chez toi !

J'ouvre grand les yeux, il avait quoi dans la tête celui là ? Non mais c'est vrai quoi ! On m'enlève père père, bon c'est vrai la chambre qu'ils m'ont donné ne ressemble pas à un cachot mais bref passons, et après ils sortent "bienvenus à la maison" mais oui c'est sa et il vous manque combien de mètre carré de moquette à vous ? Mon expression doit être comique puisque je le vois sourire. Grrrr il m'énerve celui là. Je reprend contenance et croise mes bras sur ma poitrine, je relève le menton et le toise, regard impérial. Une lueur s'allume dans ses yeux, on dirait une lueur de ... fierté ? J'essaye de rester impassible mais j'avoue c'est plutôt compliquer, je lance alors parce qu'il faut bien percer le silence qui commençait à devenir légèrement pesant :

- Comment ça bien venu à la maison, sache que m'enlever pour me dire une chose pareil, ce n'était pas obliger. Franchement tu as un grain si tu crois que je vais sourire de toute mes dans et te remercier.

Ok je devais être un peu énerver, je sais depuis longtemps que ma place n'est pas parmi ma famille d'adoption mais ce chamboulement soudain n'est pas vraiment génial. Il me regarde toujours avec le même sourire suffisant, il prend la parole calmement. Il avait la même voix quand il n'a pas hésiter à vouloir tirer sur une élève. Ce type est vraiment pas net !

- Comme je m'y attendais tu n'as pas la langue dans ta poche et je n'ose même pas imaginer se que tu penses. Dis toi tout de fois que si se n'étais pas nous qui étions venus te chercher, ça aurait été d'autre personne et que eux ils auraient été beaucoup moins accueillant !

Je ne répond rien. Que pourrais-je dire ? Indirectement je lui demande de continuer et il le fit :

- Tu dois te demander ce que tu fait ici. Je vais t'expliquer et j'espère que tu ne m'interrompra pas trop je n'aime pas ça. Bon alors je m'appelle Caleb,tu connait déjà Tierse à côté de moi. La bas c'est Cell.

Je regarde un type de haute stature, il a de longs cheveux noir et un regarde noisette chaleureux. Il semble être le plus mature de toute cette petite assistance. Il se tient droit mais n'a pas la même prestance que Caleb.

- En face de lui, c'est Ginne.

Une jeune femme au cheveux châtain couper court me regarde de ses yeux gris, ils sont remplis de sagesse. J'en retient ma respiration.

- A côté de Cell, c'est Kami.

Une jeune fille avec des yeux jaune comme celui des loups me transperce de son regard, ses cheveux roux doivent être aussi long que les miens.

- En face de Kami, c'est Talke.

Un jeune homme au muscle fin qui se dessine sous ses vêtements me fais un sourire, il a des yeux bleus transperçant. Il porte ses cheveux auburn court.

- Pour finir, à coté de Talke c'est Fuji*.

Une fille relève la tête, elle doit être moins grande que moi mais pourtant un aura de grandeur et de danger l'entoure. Elle a les cheveux blond natté et des yeux marron virant vers le noir.

Toutes les personnes dans cette équipe sont différents mais pourtant ils sont semblable. Je ne sais pas comment je peux l'expliquer mais ils sont pareils. Tous. Je remarque alors quelque chose que je n'avais pas compris. Ils me ressemblent à moi ou plutôt je ressemble à eux, un peu comme une famille ou des amis qui se connaisse depuis les couches culottes. Je me ras-saine, Caleb n'a rien fumer de suspect, il a dit la vérité. Je suis ici chez moi avec eux. Je lui lance un regard reconnaissant :

- Veux-tu continuer s'il te plait ? Je sens que vous avez beaucoup à m'apprendre !

Allongé que mon lit dans ma chambre, les bras sous la tête je repense à la discussion que j'ai eu avec Caleb et les autres. Toutes les informations que j'avais reçu pendant les dernières heures tournaient et retournaient dans ma tête. Mes parents adoptifs étaient ils au courant ? Ou m'avaient-ils accepté sans aucune explications ? Est-ce que j'avais des parents, réel cette fois, en y pensant un peu plus je me dis que ma seule famille c'est les sept personnes qui se trouvent éparpillé dans toute la maison. Ils sont tous comme moi ou je suis comme eux, je ne sais pas trop. Moi je ne suis que l'aboutissement, eux se sont les cobayes, qu'elles doit être leurs sentiments en me voyant ? Même si chez Caleb je ne vois que de la fierté dans son regard et pour les autres est-ce différent ? Moi je n'ai pas eu à souffrir, contrairement à eux. Je le sais, je le sens et maintenant un choix s'offre à moi, les ramener dans leur enfer personnel ou non. En plus ils y fonceraient tête baisser juste pour moi, juste pour que je sois complète. Pour vivre en société on m'a retiré beaucoup trop de partie de mon âme, mon âme qui est si synthétique comme tous se qui est en moi. Maintenant pour revoir au top de ma forme il fait aller dans le camp ennemie et surtout pour les aider et devenir celle que je devais être depuis ma naissance, je dois abandonner le peu d'humanité que j'ai en moi. J'en serai capable car à leur côté je vois bien que je pourrais être moi même, même sans mes sentiments, même en étant plus dangereuse que toutes les armées de la planète réunis, je serais capable de tout pour eux comme ils sont capable de tout pour moi. Donnant donnant et pourtant cette confiance c'est instauré en quelques minutes, en quelques mots, une phrase : "Nous sommes les uns, tu es le tout". Caleb avait toute son cœur dans cette phrase et les autres l'avaient suivis, je pense, peut-être, à ce moment là mes idées étaient brouillé comme enveloppés dans un épais brouillard. Il n'y a que maintenant que je me rends compte de la signification de ces mots. Petit à petit tout le mensonge dans lequel j'étais confiné c'est évaporé, comme par magie. La science des armes, la sciences des arts martiaux, l'immortalité, les 5 sens affiné au maximum, un charisme envoutant, la force brute, l'intelligence encore inégalé et enfin la transformation de son propre corp. Tout ces ... pouvoirs ? Puis-je vraiment appelé ces capacités ainsi. Dans tous les cas je les ai, en moi, enfermé sous clé et cette clé se trouve dans le laboratoire ou nous avons tous été crée. Cell en premier, il y a 23 ans, moi en dernière, il y a 16 ans, un an de décalage entre chaque nouvelle capacité et arrêter au bout de 8 années. Les autres ont atteins le taille adulte en 8 mois et se faisait ausculté sous toutes les couture pendants 4 mois. Dans tous ça je suis la seule à avoir eu un développement normal, j'ai put avoir une enfance, pas eux. J'ai put grandir a peu près normalement, dans un grand espace, sans mur pour m'emprisonner, eux ont été élevé par des scientifiques complètement taré. Caleb m'a expliqué que ça ne fait que 4 ans qu'ils se sont enfuis du labo. Les chercheurs auraient-ils poussé le vis à les garder enfermé pendant tous ces années, j'en suis sûr et certaine et ça me révolte. Quand je me trouvais devant ceux qui ont osée nous crée tel que nous le somme, je les terroriserais, les torturais et je les abaisserais au rang de limace, ils me supplieront d'épargner leur vie et je les tuerais le sourire au lèvre, sans aucun remord. Savez-vous pourquoi ils n'ont crée ? Juste pour l'armée française, pour qu'elle est sous la main une troupe d'élite qui réunit des combattants supérieur aux humains et normal et surtout le soldat ultime, c'est à dire moi, ils croyaient qu'ils pourraient nous contrôler. Ils nous prenaient pour de simple enveloppe avec des capacité incroyable mais des simple personne vide. Ils avaient tord et leurs inventions se retournent contre eux, ils s'en mordront les doigts quand je plongerais ma main dans leurs entrailles. Déjà quand ils se rendront compte de mon enlèvement ils verront que la situation est critique mais ils ne pourront arrêter notre avancé, ils ne pourront rien faire car nous sommes trop puissant et unique et ils ne vont pas pouvoir nous copier car Caleb et les autres ont détruit toutes leurs recherchent en s'enfuyant. Je ne pense pas qu'en quatre ils aient eu le temps de tout refaire. Je ricane déjà la mort s'abattra sur eux et rien ne l'arrêtera. Je me lève de mon lit et me dirige à grand pas vers le salon, comme je le pensais Caleb m'attend, il me sourit.


- Ma décision est prise, vous pouvez compter sur moi, la bataille sera sanglante et je vous jure qu'on la gagnera !



Voilà voilà, maintenant il faut faire le chapitre 3 ^^.
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