Quatre mots sur un bout de papier
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Vous adorez lire, écrire, rire ? C'est ici que vous devez vous inscrire ! Un forum consacré entièrement à la littérature, l'écriture, un peu à la musique et surtout à tous les textes qui passent ! ^^
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 Rencontre inopinée

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Ptite rêveuse
feuille d'or

Ptite rêveuse

Posts : 804
Ptits bonheurs : Lecture évidemment, écriture aussi, le piano, la bonne musique, la danse, les bons films... Et à part ça lycéenne le jour, dormeuse la nuit !
Humeur : amoureuse
Cachette : Ben... Au lycée ! Généralement, deuxième rang contre le mur, un stylo dans la main, à écrire... tout sauf le cours

Rencontre inopinée _
MessageSujet: Rencontre inopinée   Rencontre inopinée Icon_minitimeMar 12 Jan - 21:31

Bon, ok, je me lance !
Titre : Une rencontre inopinée mène à une aventure passionnée !
auteur : Moi !
Critique : Yes, of course ! ^^
Sujet : Marion est une jeune noble. Guillaume est un jeune noble. Ils vivent tous les deux dans le Royaume, mais ne se connaissent pas. Une rencontre inopinée dans un marché va les conduire vers une aventure pour le moins... surprenante. Et rien ne les préparait à cela...

Remarques : ça n'est pas historiquement réaliste, mais disons qu'elle se passe dans une époque de "Cour", et que ça va mieux dans cette rubrique... Si vous pensez que ca va mieux ailleurs, dites-le moi ! ^^
xD

Bonne lecture !

____________


La jeune femme marchait d’un pas rapide, ses longs cheveux bruns se balançant en rythme sur son dos. Le marché battait son plein et la foule était dense. Il était difficile de ne pas heurter quelqu’un. La jeune noble entra en collision avec un jeune homme aux yeux d’un bleu profond et aux cheveux bruns, presque noirs. La cape de la jeune femme tomba par terre et sa propriétaire grommela en la ramassant.
- Faites donc attention, jeune homme, grogna-t-elle.
L’intéressé se répandit en excuse jusqu’à ce que son regard rencontre celui de son interlocutrice. Il s’arrêta alors de parler et se perdit dans le bleu profond de ses yeux.
- Qui êtes-vous ? demanda-t-il.
- Une fille de noble, répondit-elle. Et vous ?
- Je me nomme Guillaume, et je suis fils d’un propriétaire.
- Je vois.
L’inconnue se redressa et remit sa cape sur sa longue jupe verte et bleue sombre.
- Eh bien, sieur Guillaume, reprit-elle, je vous souhaite un bon après-midi. Mais faites tout de même attention où vous marchez !
Elle rit et repartit d’un bon pas. Elle traversa le marché. Soudain, une main s’abattit sur son épaule mais la jeune fille ne s’en étonna pas. Elle se retourna et vit un homme d’une vingtaine d’années, les yeux noirs, les cheveux gras, un semblant de sourire plaqué sur le visage.
- Où étais-tu, Marion ? demanda-t-il brutalement.
- Nulle part, François, répondit-elle. Ne t’inquiètes pas, je ne te trompes avec personne.
“Même si l’envie me tiraille”, faillit-elle ajouter.
- J’observais le marché. J’aime regarder les étals, ils sont si beaux ! s’extasia-t-elle.
Son fiancé ne sut s’il devait la croire. Il se tut.
- Sais-tu, reprit Marion, que je suis maintenant assez pressée car mon père m’attend pour ma leçon d’épée. Après j’ai cours de danse et de chant, puis de musique. Je risque d’être en retard.
- Tu n’as pas oublié le bal de la semaine prochaine, j’espère, grogna-t-il.
- Bien sûr que non, mon ami. Je suis pressée d’y être. Alors, dit-elle en s’inclinant, à bientôt, mon fiancé.
- Ma dame, répondit le jeune homme aux cheveux gras esquissant une révérence hypocrite.
“Puisses-tu pourrir en enfer”, pensa la jeune fille en lui souriant avant de s’éloigner d’un pas vif, pressée de s’éloigner de la puanteur de son futur mari. François de Chevaleret, fils de Marc de Chevaleret, deuxième noble le plus proche du roi, après le père de Marion, le duc de Brumois.
Les Brumois avaient juré allégeance au roi il y a fort longtemps, s’engageant à aider leur souverain si nécessaire, enseignant à toute la famille l’art des armes. C’était madame de Brumois qui avait décidé du mariage avec François, peu de temps avant sa mort, il y a deux ans de cela. Marion l’avait pleuré mais moins que si cela avait été son père que l’on enterrait. Marguerette de Brumois était née de Sieure et ne comprenait pas l’intérêt de sa fille pour les armes. Si bien que la plupart du temps elle l’ignorait. Mais Loyal de Brumois aimait sa fille comme la prunelle de ses yeux et rechignait à la donner en mariage à un homme qu’elle n’aimait pas. Malheureusement, il n’y avait pas moyen d’empêcher cette union qui serait désastreuse. Du moins Marion n’en voyait-elle pas pour le moment.
La jeune demoiselle de Brumois arriva chez elle en avance, ce qui lui permit de se changer. Elle prit son épée en soupirant d’aise. Elle aimait combattre plus que tout.

Guillaume resta un instant songeur, tentant de se rappeler pour quelle raison il s’était aventuré dans le marché avant de rencontrer ces yeux profonds. Il s’en souvint. Son père, Messire de Carner, était le premier propriétaire du Royaume. Pour ne pas paraître prétentieux, il ne citait jamais son nom plus que nécessaire. Il lui avait demandé de lui acheter un peu de nourriture pour le déjeuner. La mère de Guillaume était dans un état dépressif avancé, si bien qu’elle restait tout le temps enfermée dans sa chambre. Malgré les silences qu’observait son père à ce sujet, l’adolescent avait bien compris qu’elle n’en avait plus pour beaucoup à vivre. Il avait pleuré silencieusement pendant des nuits avant de chasser son insondable gouffre de douleur. Sa mère n’avait pas réagi, elle payait aujourd’hui ses lâchetés. Le sujet de la guerre était bien plus préoccupant. Le Royaume avait en effet passé il y a longtemps un accord avec un pays voisin, le Boisant. Les Boisantiers devaient livrer du bois au Royaume qui n’en avait pas assez. En échange, le Royaume les protégeait, leur donner de l’or et de la nourriture. Malheureusement, deux mois auparavant, deux émissaires étaient arrivés pour annoncer que leur dirigeant voulait plus d’or pour le bois qu’ils livraient. Le roi avait refusé, si bien que les relations entre les deux états étaient passés de froides à glaciales. Et rien ne semblait pouvoir arranger la situation. Dans certains milieux, on murmurait que la guerre n’était pas inenvisageable. Cela inquiétait beaucoup Guillaume. Âgé de vingt-et-un ans, il était apte à faire la guerre. Mais il haïssait toute forme de violence. Si seulement le Boisant pouvait se contenter de négociations ! Mais apparemment, leur nouveau Régent n’aimait que la guerre.
Guillaume accomplit la tâche qu’on lui avait confié puis retourna chez lui. Cet après-midi, il devait voir ses grands amis. Le visage étrange de l’inconnue le poursuivit plusieurs heures, et il se surprit à espérer la revoir au bal de la semaine suivante.
Revenir en haut Aller en bas
Merlin
feuille d'or

Merlin

Posts : 998
Ptits bonheurs : lire, écrire, manger, zieuter mes hamsters
Humeur : Résistance
Cachette : Plantée devant mes cahiers.

Rencontre inopinée _
MessageSujet: Re: Rencontre inopinée   Rencontre inopinée Icon_minitimeMer 13 Jan - 16:17

J'adore ce début ! Moi qui d'habitude n'aime pas trop ce qui sort de notre cher XXIème siècle, j'apprécie cette époque que tu nous présente ^^. J'ai hâte de connaitre la suite, dépêche toi !

Brave bête
Revenir en haut Aller en bas
http://merlin4ever.wordpress.com/
Ptite rêveuse
feuille d'or

Ptite rêveuse

Posts : 804
Ptits bonheurs : Lecture évidemment, écriture aussi, le piano, la bonne musique, la danse, les bons films... Et à part ça lycéenne le jour, dormeuse la nuit !
Humeur : amoureuse
Cachette : Ben... Au lycée ! Généralement, deuxième rang contre le mur, un stylo dans la main, à écrire... tout sauf le cours

Rencontre inopinée _
MessageSujet: Re: Rencontre inopinée   Rencontre inopinée Icon_minitimeMer 13 Jan - 21:00

ah, contente que ça plaise à quelqu'un ! ^^

Surtout si d'habitude ça t'intéresse pas vraiment ! =p
Promis, dans pas longtemps je poste la suite !

Cherche cerveau
Revenir en haut Aller en bas
Ptite rêveuse
feuille d'or

Ptite rêveuse

Posts : 804
Ptits bonheurs : Lecture évidemment, écriture aussi, le piano, la bonne musique, la danse, les bons films... Et à part ça lycéenne le jour, dormeuse la nuit !
Humeur : amoureuse
Cachette : Ben... Au lycée ! Généralement, deuxième rang contre le mur, un stylo dans la main, à écrire... tout sauf le cours

Rencontre inopinée _
MessageSujet: Re: Rencontre inopinée   Rencontre inopinée Icon_minitimeMer 13 Jan - 21:18

Pour ne pas te faire attendre trop longtemps ( vous faire attendre trop longtemps ^^), voici la suite de mon histoire... En revanche, il faudra attendre plus longtemps pour la suite de la suite ^^

3 jours plus tard.

Marion déjeunait en silence avec son père et son odieux fiancé. Il n’y avait pas grand-chose à dire, dans la mesure où François était incapable de tenir une discussion sensée et intéressante. Et lorsqu’il était là, le duc de Brumois se fermait comme une huître. Aussi Marion faisait-elle en sorte de voir le moins possible son futur mari. Penser qu’un jour elle devrait vivre sous son toit lui était insupportable, et elle préférait l’oublier. D’ailleurs, elle y arrivait assez bien.
Le silence tendu fut soudain rompu par François qui, cérémonieusement, demanda à Loyal de Brumois l’autorisation d’emmener sa fille au Bal de la Cour. Bien évidemment, le père de Marion n’eut d’autre choix que d’accepter, malgré les regards de bête blessée qu’il recevait de sa fille.
Marion ne supportait plus l’atmosphère. Se levant brutalement, elle annonça :
- J’ai une course à faire, puis j’irai voir mon amie, Élisabeth. Je ne rentrerai qu’en fin d’après-midi.
- Très bien, ma chérie, approuva son père.
S’inclinant brièvement devant son fiancé, Marion s’empressa de quitter la pièce. Sortant de la maison, elle respira enfin profondément. La liberté lui était enfin offerte. Si l’histoire de la course était fausse, Marion de Brumois avait cependant promis à Élisabeth de passer la voir.
Se dirigeant vers le Palais, la jeune femme fendit aisément la foule dense. Dans quatre jours aurait lieu la plus grande fête du Royaume : l’Éveil, le début du printemps. En cette occasion, de nombreuses réjouissances étaient organisées et beaucoup de gens venaient d’autres villes ou de la campagne pour venir dans la capitale. La menace de la guerre semblait avoir augmenté le nombre de visiteurs, cette année.
Arrivée devant les portes imposantes du palais, elle salua les gardes qui, la reconnaissant, la laissèrent entrer. Marion avait rendez-vous à trois heures de l’après-midi, et il était à peine plus de deux heures. Réfléchissant à ce qu’elle pourrait faire pour passer le temps, la jeune femme finit par s’engager dans les jardins royaux, très fréquentés à cette période. Une partie du jardin avait été ignoblement torturée par les jardiniers, mais certains endroits étaient vraiment merveilleux, et très reposant. C’était exactement ce qu’il fallait à Marion pour oublier François, dont elle ne supportait même pas la pensée.
Cette histoire de mariage était bien embêtante. Il n’y avait aucun moyen d’y échapper sans risque de se déshonorer.
Ruminant des pensées bien plus sombres que le soleil brillant, Marion s’engagea dans les allées les moins fréquentées des jardins. C’était toujours agréable de respirer l’air de la nature. Peu à peu, la jeune femme s’apaisa. Il était inutile de se noyer sous des problèmes pour le moment insolubles. Elle finit même par envisager avec plaisir le Bal de l’Éveil, événement d’une ampleur fantastique.

Au détour d’un allée, Marion aperçut un grand groupe d’amis, et s’apprêtait à les éviter lorsque son regard fut attiré par l’un des jeunes hommes. C’était celui qui l’avait bousculé dans le marché, trois jours auparavant. Il dut la reconnaître aussi, car il afficha un air surpris et s’approcha vivement d’elle.
- Pardonnez-moi, commença-t-il, mais il me semble que vous êtes la jeune femme que j’ai rencontré il y a trois jours, sur le marché.
- En effet, sourit Marion. C’est bien moi. Je suis ravie de vous voir à nouveau.
Les autres jeunes adultes les avait rejoints, et le jeune homme, Guillaume, s’empressa de les présenter.
- Ce sont des amis. Ambre de Mercourt, annonça-t-il en montrant une jeune blonde très souriante.
- Enchantée, sourit-elle en s’inclinant gracieusement.
- Evan Norakia, continua Guillaume. Un étranger arrivé il y a quelques mois.
Ledit Evan avait un air sévère, et on doutait que le sourire ait jamais effleuré son visage. Il s’inclina avec respect et Marion lui rendit avec plaisir son salut.
- Et enfin, termina le jeune homme, ma chère sœur Naïka de Carner.
Elle était sensiblement plus jeune que le reste du groupe, mais paraissait être complètement adaptée. Marion lui sourit, puis reprit la parole.
- Naïka de Carner ? Seriez-vous, par hasard, les deux enfants d’Arthur de Carner ?
- En effet, approuva Guillaume.
- Oh, je vois !
Marion sourit. Elle aurait du reconnaître la ressemblance. Guillaume n’avait pas tout à fait la même tête que son père, mais Naïka était son portrait craché. La famille des Carner était très connue pour sa prospérité. Et, du coup, Loyal de Brumois avait parfois rencontré le père de famille, et Marion avait eu l’occasion de faire sa connaissance.
- Pardonnez mon impolitesse, osa la jeune femme blonde, mais quel est votre nom, mademoiselle ?
Marion grimaça involontairement. Si seulement elle n’était pas la fille d’un homme dont le nom était connu de tous, par son intimité avec le Roi, tout serait tellement plus simple. Marion détestait qu’on connaisse son rang. Mais, cette fois, elle n’avait pas le choix. De toute façon, ils finiraient par le savoir.
- Marion de Brumois, se présenta-t-elle le plus légèrement possible.
Guillaume de Carner sursauta. Il avait entendu parler de la fille du duc de Brumois, mais il ne l’avait jamais rencontré. Il s’inclina profondément. Marion gémit.
- Je vous en prie, le supplia-t-elle, ne me faites pas dix milles courbettes. Je ne supporte pas ça. C’est pour ça que je déteste venir à la Cour.
- C’est vrai, c’est tellement ennuyeux, tous ces hommes qui parlent comme si le monde leur appartenait, intervint fougueusement Naïka.
- Naïka ! s’exclama Guillaume, gêné.
Mais Marion éclata de rire.
- C’est bien vrai, approuva-t-elle de bon coeur.
- En effet, les cérémonies officielles sont bien ennuyeuses, reprit Ambre, mais les bals, c’est autre chose.
Marion sentit tout de suite qu’elle s’entendrait bien avec ce groupe. Ils ne faisaient pas trop de cérémonies et parlaient franchement. Et, comme ils semblaient assez intelligents, elle les trouva de plus en plus sympathique. Marchant avec eux pendant tout les reste de l’heure, elle finit par annoncer avec regret qu’elle devait partir.
- Oh non ! s’exclama Naïka. Pourquoi ?
- J’ai rendez-vous avec une amie. Élisabeth d’Ofray.
- Eh bien, je suppose que nous nous reverrons au Bal, alors, soupira la jeune fille.
Marion lui sourit, puis salua ses autres compagnons. Elle s’éloigna ensuite gaiement vers les appartements de son amie.
Revenir en haut Aller en bas
Merlin
feuille d'or

Merlin

Posts : 998
Ptits bonheurs : lire, écrire, manger, zieuter mes hamsters
Humeur : Résistance
Cachette : Plantée devant mes cahiers.

Rencontre inopinée _
MessageSujet: Re: Rencontre inopinée   Rencontre inopinée Icon_minitimeJeu 28 Jan - 16:16

j'aime toujours beaucoup ^^ par contre j'ai juste relevé "Une partie du jardin avait été ignoblement torturée par les jardiniers", je trouve qu'il y a beaucoup de mots de la famille de jardin, mais ce n'est que mon humble avis et tu n'es pas obligée de changer ! vivement la suite de cette histoire en tout cas, j'ai hâte de savoir ce qu'il va se passer durant le bal ^^
Revenir en haut Aller en bas
http://merlin4ever.wordpress.com/
Ptite rêveuse
feuille d'or

Ptite rêveuse

Posts : 804
Ptits bonheurs : Lecture évidemment, écriture aussi, le piano, la bonne musique, la danse, les bons films... Et à part ça lycéenne le jour, dormeuse la nuit !
Humeur : amoureuse
Cachette : Ben... Au lycée ! Généralement, deuxième rang contre le mur, un stylo dans la main, à écrire... tout sauf le cours

Rencontre inopinée _
MessageSujet: Re: Rencontre inopinée   Rencontre inopinée Icon_minitimeJeu 28 Jan - 18:53

Haha tout le mystère est là... Car je n'ai pas écrit la suite !
Briques

en fait, si, mais juste un peu (tout petit petit peu ) ^^

Et comme, en ce moment, je bosse comme une folle parce que j'ai un devoir en philo ( argh!), je crains que tu ne doive attendre encore un peu !
Mais heureuse de savoir que tu lis mon histoire ! =)
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




Rencontre inopinée _
MessageSujet: Re: Rencontre inopinée   Rencontre inopinée Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Rencontre inopinée

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Quatre mots sur un bout de papier :: Old-